François : La Fête D’Anniversaire Tourne À L’Orgie. (Partie 5)

Dans la première partie du récit, François en rentrant de Paris, avait rêvé que la fête d’anniversaire de son fils, se transformait en orgie. Dans la deuxième partie, François avait, dans le TGV, fait la connaissance de Josiane, la veuve chaude comme de la braise. La troisième partie fut consacrée à Anne-Marie qui trompa François avec Benoit le jeune métis de 20 ans dont la verge n’avait rien à envier à celle de Rocco Siffredi. Puis dans la quatrième partie, après s’être avoué leur adultère, d’un commun accord le couple renouvela leur expérience extra conjugale et avait envie d’inviter pour un diner coquin, leur amant et maitresse au domicile conjugal.

Le jeudi suivant, comme elles le faisaient toutes les semaines, Christine la sœur d’Anne-Marie et Sylvie leur amie, vinrent lui rendre visite. Les trois femmes parlaient de tout et de rien pendant une heure et demi voire deux et souvent la discussion tournait autour du sexe. Elles n’hésitaient pas chacune d’elle, à donner les détails de leurs ébats sexuels avec leur conjoint ou de parler de leurs fantasmes respectifs. Ce jour-là, ce fut Sylvie qui lança le sujet en disant que le soir de l’anniversaire de Richard, elle et son mari tellement excités, avaient décidé de rentrer à la maison car ils avaient une envie pressante de faire l’amour. Bernard n’avait jamais autant bandé que ce soir-là et elle c’était régalée en prenant un réel orgasme :

— Je vous jure que cela ne m’était plus arrivé depuis bien longtemps.
— Toi aussi ? Moi je suis rentrée avec la culotte toute mouillée. Dit Christine en poursuivant : Denis fut magique aussi.
— C’est le philtre d’amour et le gâteau au chocolat, il y avait des aphrodisiaques à l’intérieur.
— Je veux la recette ! S’exclamèrent Sylvie et Christine à l’unisson.

Puis la discussion tourna autour de cette fameuse dopamine pendant un bon moment. Sylvie venait de partir, Christine avait attendu ce moment-là, elle mourrait d’envie d’en savoir plus et demanda à sa sœur :
— Dis-moi Anne-Marie, c’est vrai ce que m’a dit ma fille.

Vous allez peut-être vous séparer avec François ?
— Pourquoi Céline a-t-elle dit cela ? Bien sûr que non. Tu sais très bien que nous nous aimons comme au premier jour.
— Alors pourquoi l’as-tu trompé avec Benoit ?
— Cette petite garce de Céline, elle n’a pas su se taire. Oui, j’étais dans le même état que vous, j’avais ce soir-là, le feu au cul mais je n’avais pas mon mari sous la main, moi...
— Il semblerait que François le sache. Tu lui as avoué ?
— Tu sais bien que l’on se dit tout ma chérie. Ne t’en fait pas, tout va bien chez nous.

Un peu agacée par les propos tenus par sa sœur, afin de la narguer à son tour, Anne-Marie en remis une couche, sachant que le sexe de Bernard ne lui remplissait pas le vagin et qu’elle la jalousait pour la taille de celui de François, elle lui expliqua comment était le pénis de son jeune amant. En rajoutant qu’il avait su éteindre l’incendie qu’elle avait dans les entrailles :
— Ah bon ! À ce point-là ? Comme Rocco ?

Puis Anne-Marie enchaina sur le virage que leur couple était en train de prendre et lui expliqua qu’ils avaient l’intention d’inviter le mois prochain Benoit et Josiane, la maitresse de François, pour un diner bien spécial à la maison :
— Tu te doutes bien comment cela finira. Nous allons nous régaler tous les quatre.
— Putain ! J’aimerais bien être une petite souris pour assister à cela. Tu me raconteras hein !

Après les deux semaines suivantes, tout allait très bien dans le nouveau couple de libertins, Benoit satisfaisait Anne-Marie, le mercredi après-midi pendant que François retrouvait Josiane la belle veuve, qui ne demandait que cela. Seulement, à cinq jours du fameux repas coquin, tout était prêt chez les libertins pour recevoir leur amant et maitresse mais comme un fait exprès, le lundi soir, François reçut un appel téléphonique de Josiane lui signifiant qu’il ne pouvait plus lui rendre visite car elle avait rencontré un homme libre ce week-end et qu’elle ne pourrait pas venir au diner prévu le samedi soir suivant.


Comme un fait exprès, de son côté, Anne-Marie fut avertie par Benoit qu’il sortait dorénavant avec Laetitia qu’il avait rencontré le samedi soir. Il mettait un terme à leur relation du mercredi après-midi et ne serait pas présent au diner et il s’en excusait. Tout tombait à l’eau, chacun d’eux venait de perdre leur partenaire et ils en étaient vraiment très désolés :
— Le principal ma chérie, c’est que nous nous aimions. Lui répondit François en la serrant dans ses bras.
— Tu as raison, mais tout ceci me plaisait bien. Il va falloir que nous retrouvions un autre couple. Nous pourrions passer une annonce.

Immédiatement après le diner, Anne-Marie et François étaient sur le net recherchant sur les sites libertins, des personnes comme eux, désirant faire de l’échangisme, lorsqu’ils tombèrent sur cette annonce :
« Bonjour. Nous sommes Mathieu et Cindy, un joli jeune couple vivant à …. Dans le ... Nous avons 28 et 32 ans. Nous n’avons aucune expérience dans le domaine des rencontres échangistes, nous aimerions rencontrer un couple plus âgé qui comme nous, aimerais tenter cette expérience.»

C’était inespéré, une chance énorme pour Anne-Marie et François, après trois-quart-heure d’échange de mail, ce jeune couple disponible ce week-end et demeurant qu’à quelques kilomètres seulement, avait accepté l’invitation pour venir à ce diner un peu spécial. Le lendemain, ils s’échangèrent leurs photos par mail et s’étaient même rencontré le mercredi soir, à la brasserie du centre-ville pour un premier contact.

Cindy était une femme très pulpeuse et élégante, grande, une belle poitrine et des fesses qu’elle portait assez haut, tout ce qu’adorait François. Ce n’était pas une beauté fatale, elle avait des gros traits, des lèvres très fines et un peu pincées, mais ses beaux yeux bleus, sa belle chevelure noire et son sourire, lui donnait un certain charme. Elle n’était pas du tout timide, ce qui la rendait très sympathique.
Si lors de leur premier rendez-vous à la terrasse du bistrot, cette jeune femme avait plu à François, Anne-Marie l’appréciait déjà beaucoup. Elles avaient beaucoup échangé et elles s’étaient aperçues qu’elles avaient de nombreux points communs.

Quant à Mathieu, sans être Robert Redford, ce trentenaire se portait bien et n’était pas vilain. Il plut tout de suite à Anne-Marie qui aimait ce genre d’homme, ne se prenant pas la tête et ayant beaucoup d’humour. Pourtant même avec son 1,83m ce n’était pas un athlète de haut niveau, il avait quelques kilos en trop. Légèrement dégarni, ses cheveux châtains étaient coupés courts, il avait le visage rond, portait un petit bouc et une moustache qui entouraient une belle bouche. Ayant le même métier que François, les deux hommes avaient beaucoup parlés ensemble également.

Après ce premier rendez-vous prometteur, ils avaient pris la décision de se tutoyer. Ce qui détendit l’atmosphère lors de leur venue le samedi soir vers 19 heures. Cindy était très élégante, un peu trop sobre. Elle portait un cardigan lilas en maille avec un col en V et des manches longues, sur un chemisier blanc fermé jusqu’au cou, une jupe noir trapèze arrivant juste en-dessous des genoux, légèrement fendue sur le devant.

Anne-Marie était beaucoup plus sexy, elle avait choisi de porter une robe courte avec imprimé floral, rouge et blanc, à volant avec plis. Son décolleté plongeant était mis en valeur par le cordon serré juste à la taille. Quant aux hommes, ils étaient tous les deux des jeans et portaient une chemisette blanche. Dès leur arrivées, Cindy s’installa aux côtés d’Anne-Marie sur le divan pendant que Mathieu et François prirent les fauteuils.

Le cocktail prit en apéritif fut préparé suivant la recette de Margot, Anne-Marie avait même sur les doses afin d’être certaine que ce jeune couple soit disposé à réaliser leurs fantasmes. Aucun doute, Cindy avait rapidement avalé son premier verre, qu’elle avait déjà très chaud et trépignait sur le coussin du canapé :
— Il fait une chaleur chez vous dit-elle en se levant.
Vous permettez que je retire mon petit lainage ?

Elle retira son cardigan et ce fut la stupéfaction, son chemisier que l’on croyait blanc, était totalement transparent, laissant apparaitre sa superbe poitrine nue, sans soutien-gorge. Ses seins étaient gonflés comme deux grosses poires et les tétons semblaient vouloir déchirer le tissu extrêmement fin de son corsage. François assis en face, à quelques centimètres de cette charmante créature en resta bouche bée, pendant que la jeune femme se réinstalla, Anne-Marie lui dit qu’elle avait une magnifique poitrine. Cindy fière de ses seins et aimant les compliments, posa sa main sur la cuisse nue de sa voisine en répondant :
— Merci ! Toi aussi ma chérie tu as de beaux seins. Lui répondit-elle en lui déposant un petit bisou sensuel sur la joue.

Le ton était lancé, après le deuxième verre de ce fameux philtre d’amour, Cindy ne tenait plus en place, elle se leva de nouveau et vint se placer à califourchon sur son mari et l’embrassa à pleine bouche, laissant le couple d’hôte admiratif. Puis elle demanda à Anne-Marie de venir prendre sa place. Cette jeune femme prenait les directives et leur facilitait la tâche en quelque sorte :
— À toi ma chérie ! Goute la langue de Mathieu, pendant que j’essaye François.

C’était parti, Anne-Marie avait à peine commencé son deuxième verre que déjà, elle sentait monter dans son ventre un certain désir. Elle ne se fit pas prier et enjamba Mathieu qui en l’embrassant, lui massait les fesses sous sa petite robe. Très vite sa main passa dans son entrejambe et s’aperçut qu’elle avait choisi de ne pas porter de petite culotte pour l’occasion. Ses doigts furent en contact immédiat avec la légère toison fine de son pubis. Ils s’insinuèrent dans la fente déjà mouillée par l’excitation.

Quant à Cindy, après avoir galoché François pendant plusieurs secondes, se mit debout devant lui et leva sa longue jupe. Elle, non plus, ne portait pas de culotte, elle présenta son vagin entièrement glabre afin que son hôte la lèche. Elle était trempée, sa cyprine suintait de sa chatte, François se mit à boire ce liquide coulant sur l’intérieur des cuisses de Cindy avant de venir poser sa bouche sur ce sexe dépourvu de tout poil.

Avec les caresses intimes pratiquées par les deux hommes, les deux femmes crièrent en même temps leur bonheur en jouissant déjà une première fois. Cindy remercia François en l’embrassant de nouveau pleine bouche et se mit à genoux devant lui en lui baissant son pantalon. Anne-Marie, ne se posa pas de question, elle imita son invitée et son visage se retrouva face à la queue de taille respectable de Mathieu qui bandait déjà très fort. Cindy admira la taille du pénis de son nouveau partenaire :
— Regarde mon chéri comme son sexe est beau. Il te bat largement.

Avait dit Cindy en se moquant légèrement de son mari, avant d’avaler avec gourmandise le beau pénis de François en pleine érection. À ce rythme-là, il n’avait pas fallu longtemps avant que les femmes soient prises toutes les deux en levrettes. Installées à quatre pattes côte à côte, Anne-Marie et Cindy recevaient ce qu’elles attendaient avec impatience, les deux hommes s’activaient au même rythme en les maintenant par les hanches et en leur claquant de temps en temps les fesses. Cindy tourna la tête vers Anne-Marie en lui demandant de l’embrasser. Ce n’était pas ce qu’elle avait l’habitude de faire mais prise dans l’euphorie, elle ne refusa pas et tendit sa bouche à sa jeune amie.

Ce baiser dura pendant toute la pénétration, elles jouirent pratiquement en même temps. François et Mathieu se placèrent alors devant le visage de leur partenaire pour éjaculer et leur déposèrent leur semence blanchâtre et visqueuse sur les langues qu’elles tendaient en ouvrant en grand leur bouche, avant de l’avaler jusqu’à la dernière goutte. Cela faisait un peu plus d’une heure qu’ils étaient ensemble et leur rencontre fut incontestablement très appréciée par les deux couples novices à cette pratique.

Après avoir pris un troisième verre de ce cocktail magique, au repas après les entrées, Cindy n’avait pu attendre, elle prit la main de François assis à côté d’elle et en se penchant à son oreille lui demanda de lui faire du bien, elle aussi caressa l’entre jambe de son voisin qui après ces délicieux attouchements, commençait à reprendre forme. Pendant qu’Anne-Marie aidé par Mathieu à la cuisine, s’embrassaient déjà à pleine langue, avant de servir le plat de résistance. Cindy voyant son mari collé à la bouche d’Anne-Marie venait de reprendre un orgasme, et cela c’était fait entendre.

Que dire du dessert, ce gâteau au chocolat redonna de la force aux hommes qui bandaient comme des taureaux et une envie pressante de baiser aux deux femmes. Quelques minutes plus tard, d’un commun accord, les deux couples étaient entièrement nus et baisaient dans la chambre. Ils échangeaient de partenaire lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit. Anne-Marie s’excusa, enfila sa robe, quitta la chambre et descendit l’escalier à toute vitesse.

Pendant ce temps, Cindy en profita pour apprécier une double pénétration. Empalée sur la queue de son mari installé à plat dos, qui remplissait son vagin, le cul remonté, bien en évidence, François n’eut aucune peine pour venir ficher son dard dans l’anus dilaté de la jeune femme. Leurs mouvements de va et vient se synchronisaient à la perfection. Cindy gémissait fortement de bonheur, son plaisir montait encore puis elle se lâcha, elle venait une nouvelle fois d’atteindre l’orgasme en lâchant une quantité importante de jouissance.

Ce fut à cet instant, qu’Anne-Marie rentra dans la chambre accompagnée de Benoit entièrement nu, la verge tendue comme un arc :
— Waouh ! Il est à moi celui-là. S’exclama Cindy sidérée par l’engin que le métis tenait à la main.
— Non ! ma chérie, je te le prêterai après. Pour le moment, à mon tour de grimper aux rideaux. Laisse-moi Mathieu aussi, deux queues ne seront pas de trop pour m’assouvir.
— Je vois que tu es encore en forme François, suis-moi, allons dans la salle de bain. S’esclaffa Cindy.

Ce fut une nuit de folie que les deux femmes avaient passées, double vaginale, double anale, elles avaient reçu une quantité de sperme qu’elles n’étaient pas prêtes d’oublier. Benoit fut un monstre de résistance, il avait su les combler pendant que François après sa troisième éjaculation, se servait que de ses doigts et sa bouche. Vers minuit, afin de reprendre des forces, les trois hommes se retrouvèrent à la cuisine pour boire un café corsé et avalé une nouvelle part de gâteau au chocolat. Tout ceci pendant que Cindy faisait découvrir à Anne-Marie l’amour lesbien.

Lorsque les trois garçons remontèrent dans la chambre et virent les deux femmes en position du soixante-neuf, leur queue reprirent de la vigueur, hormis celle de François qui restai pour le moment en berne mais il tenait absolument à participer. Ils avaient tous baiser comme des fous jusqu’à deux heures du matin. Tout ce petit monde était épuisé, Benoit rentra chez lui et les deux couples se retrouvèrent propres et habillés dans le salon comme si rien ne s’était jamais passé.

De toute évidence, cela leur avait bien plu, ils jurèrent de renouveler l’expérience et fixèrent immédiatement un nouveau rendez-vous pour le mois prochain. Anne-Marie et François furent donc invités chez ces jeunes gens si sympathiques. Cindy avant de partir, avait demandé à Anne-Marie :
— Fais le maximum Anne-Marie ! Amène-moi Benoit…

Cela faisait un an que tous les mois, les deux couples libertins pratiquent l’échangisme, se retrouvant chez l’un ou chez l’autre. Ils s’entendent si bien, qu’ils ne veulent pas aller en club pour baiser avec des inconnus. Toutefois la présence de Benoit et David son jumeau et un plus car elle permet aux femmes de prendre plus de plaisirs et tout en soulageant les performances des deux hommes.

François avait prévu pour l’anniversaire de son épouse Anne-Marie d’organiser une méga fête et en profiterait pour présenter Cindy et Mathieu à : Christine et Bernard, Michel et Isabelle, Sylvie et Denis. À cette occasion, il invitera également Josiane et son nouvel amant et bien entendu, les deux étalons qu’étaient Benoit et David. Cette fête se transformera-t-elle en méga partie de sexe interminable où tout le monde sans exception, y participera et trouvera son bonheur ?

Chères lectrices et chers lecteurs, merci d’avoir lu ce récit qui sort tout droit de mon imagination. Si vous désirez la suite et vivre cette méga fête, dites-le-moi en laissant votre commentaire. je compte sur vous. « Perruche »
Vous aussi, si vous avez des idées d’expériences sexuelles, partagez-les avec moi, avec votre aide, je les écrirai à votre place. Contactez-moi par mail. Cyp.perruche@orange.fr

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